CORONAVIRUS: UE FARA’ IL
MASSIMO, VELOCE
PRESIDENTE
DEL CONSIGLIO EUROPEO CHARLES YVES JEAN GHISLAINE MICHEL
MA CHE TEMPISMO!
MA CHE
TEMPISMO DA PARTE DELL’UNIONE EUROPEA, DOPO L’ACCERTAMENTO DEL PRIMO CASO DI
CORONAVIRUS IN FRANCIA E, QUINDI, IN EUROPA, IL 19 GENNAIO SCORSO!
NOI ERAVAMO
IMPEGNATI A SEGUIRE LE VICENDE DI SAN REMO, MENTRE IL RESTO DEL MONDO SI DAVA
DA FARE PER INSABBIARE QUESTO GENERE DI NOTIZIE E, POI, GETTARE LA CROCE
ADDOSSO A NOI PERMANENTEMENTE DISTRATTI E DISTORTI.
IL 24 GENNAIO, 24 HEURES TITOLAVA:
UN TROISIEME CAS DE
CORONAVIRUS EN FRANCE
France Les trois
premiers cas, confirmés ce vendredi, du coronavirus chinois en Europe ont tous
été détectés en France.
MA NEL DARE LA NOTIZIA DEI 3 CASI DI CORONAVIRUS IN FRANCIA, FORNIVA RAGGUAGLI CIRCA LA SITUAZIONE NEL MONDO...
IN COREA DEL
SUD, IN AUSTRALIA, A SINGAPORE, IN NEPAL, A TAIWAN, IN TAILANDIA E IN VIETNAM.
NON
MENZIONAVA, A RAGIONE, L’ARTICOLO E’ DEL 24 GENNAIO, NE’ LA GRAN BRETAGNA NE’
LA GERMANIA.
MA, IN GERMANIA:
- IL 27 GENNAIO, VIENE RICONOSCIUTO POSITIVO
UN QUADRO TEDESCO 33ENNE;
- IL 28 GENNAIO, 3 DIPENDENTI DI WEBASTO [UN
UOMO DI 27 ANNI, UNO DI 40 E UNA DONNA DI 33] SONO RICOVERATI A SCHWABING;
- IL 30 GENNAIO, UN UOMO DELLA STESSA
COMPAGNIA WEBASTO E’ POSITIVO AL TEST.
E IN GRAN BRETAGNA, IL 31 GENNAIO, VENGONO
CONFERMATI 2 CASI DI CORONAVIRUS A NEWCASTLE.
PERO’ LA FAMA
DI UNTORI, GRAZIE ALLA DISATTENZIONE DELLA STAMPA TUTTA PRESA A COPRIRE L’EVENTO
PIU’ SEGUITO AL MONDO, SAN REMO, CE L’ABBIAMO NOI, CHE ABBIAMO RILEVATO IL
PRIMO CASO IL 21 FEBBRAIO.
QUALCUNO,
SICURAMENTE, HA BARATO NEI NUMERI E ANCHE IN ALTRO, MA HA GIOCATO E NON POCO LA
DISTRAZIONE DEI NOSTRI MEDIA, CHE, OGGI, DICONO: IN GERMANIA IL PRIMO CASO E LA
GERMANIA HA NASCOSTO.
NO, LA
GERMANIA NON HA NASCOSTO E NON E’ NEPPURE IL PRIMO PAESE CONTAGIATO IN EUROPA,
IN QUANTO E’ STATA LA FRANCIA, CON BEN 3 CASI.
MI AUGURO CHE
QUESTA PIAGA DEL CORONAVIRUS, CHE HA MESSO A NUDO LE FRAGILITA’ DEI PAESI E LA
NON-COOPERAZIONE TRA LORO, FINISCA QUANTO PRIMA O ALMENO FINISCA PRIMA CHE
FINIAMO TUTTI.
E QUESTO E’
PROPRIO TUTTO!
Daniela Zini
Trois cas du nouveau coronavirus chinois ont été
«confirmés» en France, sur des patients hospitalisés à Paris et Bordeaux, ont
annoncé vendredi soir les autorités sanitaires françaises, soulignant qu’il s’agissait
des «premiers cas européens». Les trois patients hospitalisés, dont deux au
moins s’étaient rendus en Chine, ont été placés en isolement.
«Nous sommes en train de remonter l’histoire de ces
patients positifs de façon à rentrer en contact avec les personnes qu’ils ont
croisées», avait expliqué la ministre de la Santé Agnès Buzyn en annonçant les
deux premiers cas lors d’un point presse, notant que la période d’incubation
était probablement «autour de 7 jours, entre 2 et 12 jours». Le troisième,
«proche parent de l’un des cas, qui était en cours d’investigation, vient d’être
confirmé», a indiqué le ministère plus tard dans la soirée.
«Nous avons aujourd’hui les premiers cas européens,
probablement parce que nous avons mis au point le test très rapidement et que
nous sommes capables de les identifier», a estimé la ministre. «Il faut traiter
une épidémie comme on traite un incendie, très vite repérer la source» et le
«circonscrire le plus vite possible» a-t-elle encore déclaré.
«Il va bien»
Les personnes avec qui les patients positifs au
coronavirus ont été en contact doivent ainsi «prendre leur température
plusieurs fois par jour, contacter le centre 15 en cas de symptôme et rester
chez elles pour l’instant pour éviter tout contact ultérieur qui favoriserait
la propagation du virus», a insisté la ministre, appelant à ne pas se rendre
aux urgences en cas de symptômes.
Le premier patient, âgé de 48 ans, est revenu le 22
janvier en France après «quelques jours» en Chine où il est notamment «passé
par Wuhan», et a été hospitalisé jeudi à Bordeaux, a précisé Agnès Buzyn. «Il
va bien», a-t-elle assuré. «Nous savons que depuis qu’il est sur le territoire
français, il a été en contact avec une dizaine de personnes, nous allons les
contacter».
L’importance de se surveiller
La ministre, qui a indiqué avoir eu l’information
sur le second cas positif juste avant le point presse, n’a pas été en mesure de
donner de détails sur le patient, indiquant toutefois qu’il était allé en Chine
et qu’il était hospitalisé à l’hôpital Bichat à Paris. Agnès Buzyn a noté qu’il
n’était pas possible de contrôler les «multiples voies» pour revenir de Chine:
«On voit bien la difficulté dans un monde comme le nôtre de fermer les
frontières, ça n’est en réalité pas possible».
«Pour les voyageurs qui rentrent de Chine, il est important
de se surveiller, et au moindre signe respiratoire ou si on a de la fièvre, il
ne faut pas aller aux urgences, il faut appeler le centre 15 qui vient chercher
le patient», a-t-elle insisté.
La Chine a intensifié ses efforts pour contenir la
propagation d’un nouveau virus tueur avec le confinement de plus de 40 millions
de personnes. Le bilan officiel de la maladie causée par ce coronavirus apparu
en décembre sur un marché de Wuhan, une ville du centre de la Chine, s’est
encore aggravé vendredi, avec 26 morts.
D’autres
cas
En dehors de la Chine, le virus a essaimé dans
plusieurs pays. Un homme d’une trentaine d’années ayant séjourné dans la région
de Wuhan a été hospitalisé non loin de Seattle (côte ouest des États-Unis), où
il était retourné le 15 janvier, ont annoncé le 21 janvier les autorités. Il
avait contacté de lui-même les services de santé le 19 janvier, après l’apparition
de symptômes. Son état est jugé satisfaisant.
Une deuxième cas a été enregistré le 24 janvier,
celui d’une sexagénaire arrivée de Wuhan le 13 janvier et habitant Chicago.
«Elle se porte bien cliniquement», d’après les autorités sanitaires locales.
Le premier cas au Japon est celui d’un trentenaire
qui a dû être hospitalisé le 10 janvier pour une forte fièvre et d’autres
symptômes. Il était rentré quelques jours plus tôt d’un séjour à Wuhan. Un
deuxième cas a été annoncé le 24 janvier, un quadragénaire qui réside à Wuhan,
arrivé le 19 dans l’archipel nippon et qui avait ressenti de la fièvre le 14
janvier. D’autres cas ont aussi été enregistrés en Corée du Sud, en Australie,
à Singapour, au Népal, à Taïwan, en Thaïlande et au Vietnam. (afp/nxp)